Outre l'indispensable écrit de Jacques Landrecies, ce site n'aurait pas pu voir le jour sans :

- La Médiathèque d'Agglomération du Cambrésis et son Fonds Ancien, où les deux livres de Carion sur Jérôme Plumecoq sont conservés.

- Clotilde Herbert, âme dudit Fonds Ancien, présidente de Jadis en Cambrésis, dont l'érudition n'a d'égale que sa gentillesse et son professionnalisme.

- La liste Achteure, liste Google consacrée au picard, tous ses membres, dont l'engagement pour le picard n'est plus à démontrer. Et particulièrement les amis "savants", dont beaucoup sont auteurs de dictionnaires et qui n'hésitent pas à passer un peu de leur temps précieux à éclairer ma lanterne sur des mots et expressions qui me sont demeurés obscurs. En premier lieu : François Beauvy, Jean-Marie Braillon, Alain Dawson, Michel Duwelz, Alain Guillemain, qui ont ouvert et élargi ma connaissance du picard, surtout celui de la première moitié du XIXe siècle.

- Le site Lexilogos, qui met en ligne des dictionnaires anciens de picard.

- L'inévitable Wikipédia qui a permis de comprendre l'actualité historique à laquelle Henri Carion fait allusion et qui n'aurait pas eu autrement d'éclairage suffisant.

- Internet dans sa globalité et ses moteurs de recherche qui permettent d'aller dénicher de précieux renseignements en quelques mots-clés.

- La Bibliothèque Nationale de France et son site Gallica, où se trouvent des mines d'or.